
Je reste grandie de chacun d’entre vous, de nous… Merci.



Les ateliers ont été pour moi de véritables espaces de paroles et d’échanges, des moments doux et apaisants qui m’ont permis d’alléger ma peine en la partageant (nous avons souvent évoqué
ce processus mais c’est tellement vrai !!).
Cela représente une étape essentielle dans mon cheminement de deuil.
Je ne l’oublierai pas.
E.A.
Dans ma vie professionnelle, dans cette société, il y a des normes : pleurer à l’enterrement… et 6 mois après, il faudrait passer à autre chose ?
V.B.
J'accepte aussi les moments où j'ai du chagrin et je profite
des beaux moments.
M.B.

Je sais aussi que lors de sa dernière rencontre avec Doriane, ça a été très important pour elle… Je sais aussi que ce fût pour mes fils des moments forts qui ont contribué à leur donner la force qu’ils manifestent aujourd’hui.
J-L.T.

Avec mes enfants, de parler de mon frère qu’ils n’ont pas connu, d’aller au cimetière avec eux, permet d’ouvrir
le dialogue…
Ma fille, dans le train, a dit :
"regarde maman, c’est la maison des morts…
et c’est beau…"
N.M.
C’est compliqué… l’an dernier tout le monde faisait attention à moi… Cette année, c’est comme si de rien n’était…
S. R.






Il faut accepter de l’aide, et accepter que ce que l’on faisait avant ne soit plus… ne se fera plus… M.H.

J’ai cru qu’il allait guérir. Accepter le pire pour que le meilleur s’accomplisse… C’est comme si on avait été dans une bulle tous les deux. Et, tous ceux qui venaient le voir, me volaient du temps avec lui.
A. H.
Et à tous ceux que je ne cite pas...
