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Savoir pour prévoir, afin de pouvoir
Auguste Comte
DES ATELIERS L’ARBRESOURCE DÉDIÉS AU GRAND PUBLIC, AUX AIDANTS

Les Ateliers L’Arbresource s’adressent tout naturellement au grand public, aux aidants qui s’impliquent avec tellement de dévouement, parfois même jusqu’à l’épuisement, auprès des leurs. Ils n’ont pour vocation que de vous montrer le chemin, celui de l’accompagnement.

Louis-Vincent Thomas, Professeur d’Université, Anthropologue, mais également fondateur de
la Société Française de Thanatologie, dans son livre monumental « Anthropologie de la mort » constate que : 

 

« Notre société, violente et mortifère, est néanmoins caractérisée par le déni de la mort. Celle-ci nous obsède, car elle est notre unique certitude, mais en même temps nous faisons tout pour l'oublier. D'autres sociétés, notamment en Afrique, ont une attitude différente. Quelle est donc la place de la mort en Occident ? Quelle est celle des morts ? Comment accepter notre destin de mortel afin de mieux vivre ? »

Hervé Mignot, Docteur et Président de l’Association Elisabeth Kübler-Ross France dit :

 

« Cette mort, quoiqu’on en dise, est cependant bien une étape naturelle de la vie. La mort fait donc partie de la vie. Le contraire de la mort, ce n’est pas la vie, c’est la naissance. Et pourtant combien ont l’air d’être surpris lorsque la mort survient, en particulier lorsqu’elle touche les plus jeunes. Le mot injustice vient alors naturellement sur les lèvres, comme si nous avions oublié que la mort peut survenir à chaque seconde de nos vies, pour chacun d’entre nous ou pour ceux qui nous sont chers.

 

La vie est donc un cadeau chaque jour réoffert dont nous n’avons aucune certitude quant au temps dont nous pourrons en jouir.

 

Comment se dire adieu lorsqu’on n’a jamais anticipé la rupture, celle qui s’inscrit dès la rencontre ?

 

Enfin, réaffirme-t-il, combien une fin apaisée peut constituer une peine légitime pour ceux qui survivent mais aussi et surtout un cadeau authentique capable d’orienter le reste de nos jours et de nous inspirer à l’heure de notre propre mort. »

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